Page 19 - EPM1

6 DE QUELS AUTRES SPORTIFS VOUS SENTEZ-VOUS PROCHES ? POURQUOI ?
7 COMMENT ORGANISEZ-VOUS VOTRE SEMAINE TYPE ?
BATTITE : D’une manière générale ma vie s’articule entre vie professionnelle, vie privée et pelote.
Chaque jour de la semaine, je travaille en tant que chargé d’affaires au sein de la société ARRAMBIDE à Anglet. Sur le plan sportif, je m’entraine souvent le midi : lundi je fais une récupération avec en plus une séance de kiné, mardi du physique basé sur de la course, mercredi entrainement technique, jeudi repos et le vendredi une séance en salle (pliométrie) puis la partie le weekend.
Le soir j’essaie de passer un peu de temps en famille avec ma compagne et notre ls.
PEIO : Ma semaine type est rythmée entre le Crédit Agricole, les entraînements physiques avec mon préparateur Laurent Terrien et les entraînements techniques avec Aita et Manu Martiarena.
Je m’entraîne physiquement tous les jours et 2 fois par semaine je répète les gammes dans le trinquets. Mais je vais aussi tous les jours à l’agence pour tra- vailler.
J’ai la chance d’avoir un contrat entre mon employeur et le ministère des
sports. Thierry Zocca, Michel Poueyts, Lilou Etcheverria et le Crédit Agricole
me permettent par l’intermédiaire d’un CIP (Contrat d’Insertion Professionnelle), d’avoir des jours en plus de mes congés pour faire ce que j’aime par dessus tout : JOUER A LA PELOTE.
C’est une chance, j’en suis conscient et je les remercie.
BATTITE : J’aime beaucoup le sport en gé- néral. J’apprécie lire des biographies ou voir des reportages sur des sportifs, comprendre leur façon de penser, leurs méthodes d’en- trainement, etc.
Si je devais en citer trois ce seraient le boxeur Mohamed ALI, le tennisman Rafael NADAL et le rugbyman Richie McCAW.
Je ne me sens pas particulièrement proche de l’un d’entre eux mais j’aime ce qu’ils dé- gagent ou dégageaient.
PEIO : Je suis très proche de Maxime Lucu, demi de mêlée au Biarritz Olympique. Depuis tout petit on se connaît, on a joué plusieurs fois l’un contre l’autre dans les catégories jeunes. On continue de se chambrer en se remémorant tous les bons souvenirs.
Lui a pris la direction du rugby avec une réussite qu’on lui connaît. Moi j’ai continué à la pelote. Aujourd’hui on est proche, et je suis très content de ce qui lui arrive.
Il mérite amplement. Autant pour lui que pour moi, il a fallu qu’on bosse beaucoup pour en arriver là. Et on va continuer de bosser pour essayer de progresser encore et toujours.
19
© Marc Mittoux